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France Inter
“Un miroir aux alouettes. Un truc d'illusionniste, quand leurs mélodies, leurs compositions bousculent parfois votre perception auditive. Ils modulent les harmonies, malaxent l'idée d'une comptine jusqu'à nous faire passe de l'autre côté d'un miroir.” Djubaka / Par Jupiter !
La Chronique pop par Christophe Crénel, podcast

Shindig! (UK)
“Completely fallen in love with this French trio’s charms (…) eccentric and truly brilliant act” 

“The continental contingency (Georgio Tuma, Balduin, Jacco Gardner, Sudden Death of Stars, The Limifianas, Orval Carlos Sibellius) have always been more experimental, weirder and interesting than their UK and US counterparts. French trio (two girls and a boy) Odessey & Oracle certainly win the prize for being the most magical, strange and beautiful.
Circling around avant-garde classical elements (akin to Smile and Van Dyke Parks), folk (there’s a lot of the girly elements of The Incredible String Band, and the forlorn ‘The Cat With Lipstick’ could very well be Vashti Bunyan fronting The Beach Boys) and the layered synths and sound art of electronica originators Mort Garson and Bruce Haak, Odessey & Oracle have a beguiling sound that really can only be described as supernatural. Innocence and the unknown, childishness and the surreal lie at the centre of this, on one hand organic and on the other futuristic, suite of twisted brilliance.” *****
Jon'Mojo' Mills

“Odessey & Oracle ne sonne comme rien de connu (…) En pratique, cela donne un objet pop unique car sans influence anglo-saxonne évidente, radical mais doux et coloré, à situer quelque part entre White Noise (pour les synthés aquatiques) et les chansons de “Peau d’Ane” (…) Une intemporalité magnifique se dégage de ces chansons qui, bizarrement, parlent de capitalisme.” Basile Farkas

France Culture
“L'idéal pour faire le lien entre la fin des années et le début des nouvelles” Aurélie Charon (L'Atelier Intérieur)

“Le disque fourmille de trouvailles, de moments de grâce, d’autres iconoclastes, d’autres à classer dans une sorte d’encyclopédie de la chanson libre de tout. En témoigne "J’ai vu un croco", l’une des plus belles chansons surréalistes qu’il m’aura été donné le droit d’écouter. Cette chanson est le chainon manquant entre le menuet et R2-D2, un chainon des fers qui emprisonneraient le sinistre chroniqueur économique de France 2 qui serait tombé suite à une allégation dépourvue de poésie sur les montants compensatoires. (…)
Ce disque est fait d’amour, celui d’une musique aérée, toujours à la recherche de la sonorité colorée (chez Odessey & Oracle on ne parle ni de noire ou de blanche, mais de notes rouges, jaunes, vertes….) pour échafauder le plan d’un monde meilleur. Mettez de la couleur dans votre vie écoutez "Speculatio" et faites la révolution.” gdo
“Ultimately, the end result is too bright to be considered psychedelic on the surface. But keep listening and the layered electronics and playful vocals begin to bend and warp, and with them so do the pop melodies.” Cerberus
“Quand un trio de lyonnais décide de prendre pour nom le chef-d'œuvre des Zombies sorti plus de quarante ans plus tôt, on s'attend forcément à de l'orfèvrerie pop, du travail de précision. Et, étonnament, Odessey & Oracle tient bien ses promesses. Ce qui impressionne d'abord c'est l'ampleur de l'ambition qu'abritent ces dix-sept pistes : cette pop baroque est d'une richesse folle et le trio a mis à contribution quantités d'idées pour faire s'entrechoquer des (instruments oubliés (viole de gambe,, violoncelle baroque, flûtes anciennes…) et une ambition électronique qui confère  à cet album la légère touche psychédélique qui le rapproche encore plus à ces idoles de la fin des années 60. Quand les pistes se font plus calmes, que la musique d'Odessey & Oracle tend vers le folk, on découvre aussi une troupe aux goûts sûrs et aux vocalises (tour à tour féminines ou masculines) abouties. Odessey & Oracle sait aussi surprendre, ouvrant par exemple “I Saw My Mother” sur un space-trip noir ou avec le très liturgique “Night of The Tacky Toys”. Odessey & Oracle est un ovni sur la scène française et malgré quelques longueurs sur une fin qui part dans tous les sens, on ne peut que les remercier de ne rien faire comme les autres.” François Blanc

Des espèces de tarés complètement hors de l'histoire m'ont envoyé un lien vers leur album cette semaine. Je leur aurais bien répondu, mais je ne maîtrise pas le vieux françois des troubadours du Midi. Attention, ce truc fait passer Dorian Pimpernel pour des punks lo-fi. Pierre Jouan

“Le trio lyonnais signe une passionnante pop baroque baignée d'un psychédélisme tout à fait actuel (…) Vivement plus.” Magic rpm

“C'est de la pop baroque comme plus personne n'en fait et c'est super. (…) Odessey & Oracle, nouveau groupe folichon originaire de Lyon et auteur de l'album Odessey & Oracle And The Casiotone Orchestra qui perpétue la tradition d'expérimentation sauvageonne dans la pop des années 60. Ça donne un album de 17 morceaux de pop chiadée et ravissante, qui vous fera peut-être penser avec émotion aux Recovery Tapes d'Orval Carlos Sibelius et à The Yes Album des Yes, au Penguin Café Orchestra, à la musique qui aurait très certainement dû accompagner Merlin L'Enchanteur.” Lucie Monpontet

Pop, Cultureset Cie
Sacrée alchimie que la musique des Lyonnais : on peut donc aujourd’hui produire un disque à la fois intelligent et touchant, esthète et bariolé, doux et flamboyant, référencé et hyper contemporain.
En équilibre perpétuel sur un fil mélodique qui relie les tenants de la pop flamboyante aux sorciers des harmonies baroques ou expérimentales, le trio flirte tour à tour avec les pures inventions des pionniers psychédéliques, la tentation d’une musique plus mystique, la joie quasi enfantine de la ritournelle médiévale ou l’ambiguité de la comptine toxique pour enfants insolents. En toute liberté. Semant des indices comme autant de fausses pistes, ils nous invitent à une incroyable chasse au trésor, musicale et démoniaque, qui nous oblige régulièrement à rebrousser chemin dans ce labyrinthe enchanteur peuplé d’étranges créatures. Un enchantement qui donne l’agréable impression d’une légère mais salvatrice déconnexion avec la parfois triste et froide réalité du monde de 2015.
D’un talent certain et d’une virtuosité évidente, d’une facilité parfois écoeurante les trois compères peuvent se permettre ces grands écarts et affrontent les montagnes russes de leurs compositions savantes avec autant d’élégance et de pertinence dans les montées que dans les descentes, ou encore dans ces décrochages que constituent les délicieux interludes aux effluves nostalgiques.
Je ne sais pas s’ils s’amusent à composer leurs chansons en matant des vieux Disney shootés aux Dragibus et aux Fruikipik, s’ils sont les descendants de la Fée Morgane et de Mandrake, s’ils ont pris du LSD avec Ken Kesey et les Pranksters au cours de l’été 64, ou s’ils font partie d’une secte sacrée, gardiens du temple, vestales veillant sur une musique aux origines mystérieuses qui ne doit être composée que par les initiés ou encore d’une sorte de ligue des musiciens extraordinaires. Peu importe finalement : ce dont je suis certain, c’est que ce disque me fait un bien fou à chaque écoute. En perpétuel mouvement, regorgeant de trouvailles, d’enluminures et de détails surprenants, c’est un album libre et réjouissant, généreux et raffiné : franchement euphorisant.
Un truc à se calfeutrer chez soi les jours de grand froid pour profiter de cette musique singulière et poétique loin, très loin des casse-couilles, des pisse-froid et autre empêcheurs d’écouter en rond qui ont envahi les médias, les magasins et les réseaux sociaux. Pur plaisir. Lumineux et emballant. Mathieu Dufour

Le nom de cette nouvelle formation ne trahit en rien ses bonnes intentions. Allant jusqu’à reprendre la même faute d’orthographe que sur l’immense album de The Zombies, Odessey & Oracle tente de renouveler et remettre au goût du jour la pop baroque née à la fin des années 60 sous la houlette de groupes comme les Beach Boys, The Left Banke et autre Saggitarius. Le trio lyonnais se réapproprie cette période bénie pour mieux la réinterpréter et la réinventer en y ajoutant quelques touches british folk (Pentangle, Fairport Convention…). S’inspirer sans jamais copier, voilà le maître mot d’Odessey & Oracle. La pochette naïve rappelant celle de l’ultime album du groupe de Colin Blunstone est une preuve à laquelle il faut ajouter les miniatures contrepuntiques placées entre chaque morceau et appelées simplement « invention ».
La musique d’Odessey & Oracle se construit avec beaucoup d’élégance et de légèreté dans l’orchestration. La finesse des mélodies est de rigueur. On s’approche souvent des mélodies inoubliables d’un autre héritier des Zombies et des Beach Boys à savoir Sean O’Hagan et ses High Llamas. Comme lui, Odessey & Oracle n’hésite pas à mélanger Korg MS-20 et instruments à cordes classiques, claviers casiotone et banjo.
« Rien de nouveau » vous allez dire. Certes, mais c’est un bonheur infini de voir que la tradition de la pop ouvragée se perpétue à travers un album comme celui-ci. Un album que l’on n’hésitera pas à placer dans la continuité de Pet Sounds, Odessey & Oracle et Hawaïi. Damien

“Naviguant entre les âges avec une précision et un souci du détail extrêmes, il réussit le pari à l’aide de son Casiotone Orchestra de nous faire écouter pour la première fois depuis longtemps quelque chose de neuf et expérimental. Chapeau bas !” Julien Deverre

“Car ici, la pop est expérimentale et savamment orchestrée, le voyage est féerique et assez troublant, la proposition est étonnante mais inévitablement captivante.” XAVIER LELIEVRE
Originaire de Lyon, le trio Odessey & Oraclequi doit son nom au célèbre album des Zombies ne cache pas sa passion pour le son de tous ces groupes des années 60 plus ou moins connus que sont Sunforest, Duncan Browne, The Left Banke ou encore Saggitarius… et qui conjuguaient pop et expérimentation avec un certain talent. Malgré tout, la musique d’Odessey & Oracle est loin d’être une copie des originaux, le groupe préférant s’inspirer plutôt que de copier à la perfection le son psyché pop de l’époque comme le font tant d’autres aujourd’hui avec des moyens considérables. Résultat notre trio propose ici un amour de disque soyeux et raffiné, de la pop de chambre délicate aux sonorités à la fois lo-fi, baroques et médiévales qui lui donne cette originalité et ce côté un peu décalé mais tellement appréciable. [4.0] Benoit RICHARD

“In today’s society of instant gratification, it can be hard to branch out your musical taste. Instead of giving new music a chance, we tend to just skip to the next track that is better aligned with a genre or style that we have connected with in the past. Lose that mindset right now, because unless you already operate on a hearty diet of chiptune and toy instruments, you won’t recognize the greatness of Odessey & Oracle and the Casiotone Orchestra. (…) Once you buy the record, though, give your attention to the series of Inventions that weave between the other tracks. They are not the most staggering songs among the other gems, but I do feel the Inventions provide some much needed grounding for the album. This is a testament to a well-structured album.” Zoë Brown
“C’est de la pop de haute volée, de la pop au sens noble du terme, tel qu’employé dans les années soixante. A tous les niveaux, ce n’est que régal : des compositions matures, un chant superbe (aussi bien féminin que masculin, selon les morceaux), des harmonies vocales parfaites, une palette instrumentale large, diversifiée et surtout très maîtrisée. (…) Un groupe qui devrait compter dans l’avenir.” 
Éric Tessier / Culturopoing

“Rêvons mesdames, rêvons messieurs, avec une musique sortie tout droit des speakers des meilleurs caroussels de notre bas monde. Tournicoti, tournicoton, Le Manège Enchanté n’aurait pas boudé la sublimation de la pop d’Odessey & Oracle, conte pour grands enfants qui n’hésite pas à être triste mais à rire quand même.
Tirant son nom d’un album de The Zombies, paru en 1968, il libère les élans baroques d’un  Robert Wyatt, le psyché des 60s, la naïveté du chant, les orchestrations électroniques du monde moderne. Avec son premier album éponyme, on s’étonnerait presque de n’avoir entendu rien de tel depuis des plombes (et ce même si la formule est facile). Tout en défauts, en étrangeté, en saintes paroles. Point de revival, chers frères, chères soeurs, mais pure création originale.” Romain

Nous allons aujourd’hui parler du groupe de pop psychédélique Odeysey & Oracle, qui est en bonne place pour vous faire oublier votre groupe préféré, celui que vous adorez écouter seul sur votre lit, dans le confort de vos petites chaussettes de ski. Leur premier album, « Odeysey & Oracle and the Casiotone orchestra » sort ce vendredi 12 décembre 2014 chez Carton Records , et il est d’ores et déjà votre petit secret… Pour plusieurs raisons.
Tout d’abord leur nom, référence au chef d’œuvre culte des Zombies (Odeysey & Oracle, 1968), qui, en plus d’amener chaque personne qui écrira quelque-chose sur eux à utiliser le terme de « chef d’œuvre », leur permettra de ne jamais être référencé correctement dans les moteurs de recherche (en fait on les trouve en tapant « …and the casiotone orchestra » mais chuuut). C’est peut-être un détail pour vous, mais ça peut justifier exceptionnellement de commencer une phrase comme une chanson de France Gall et d’en faire une blague.
Ensuite la musique (et oui !), composée de doigts de maitre par ses trois membres (deux filles et un garçon, également bientôt vos meilleurs amis), propose une expérience rafraichissante tant elle saute allégrement de la pure maîtrise technique à l’évidence et la simplicité. Clairement, de la musIque avec un grand I, comme Instruite, Innovante mais aussi Immédiate et presque Inespérée aujourd’hui dans ce monde méchant qui va pas bien.
Nourrie de multiples références dont la plus évidente est la « pop baroque », leur musique, chantée mais aussi instrumentale, contient des mélodies touchantes et complexes, autant gorgées de sonorités acoustiques que synthétiques. Les instruments y tiennent une grande place, abordés comme de vrais personnages grâce à un très beau sens de la narration/composition. Des cordes en tout genre aux flûtes, en passant par les petits synthés kiki (un peu vintage quoi), leur présence colore des univers variés et riches en rebondissement. A l’évidence, l’album est intensément cinématographique. Au dernier degré du terme même, dans le sens où c’est de votre quotidien que ces chansons vont faire un véritable petit film (indépendant hein, avec quelques touches de fantastique, mais pas de Michael Bay à l’horizon). Jean Calin

Ondarock (Italy)
“l'une des créations sonores les plus originaux de la musique française au cours des dernières années / l'une des créations sonores les plus originales de la musique française au cours des dernières années.” Gianfranco Marmoro
But if we can't find our way into the light, what is the point of the dark? Enter Lyon, France's progenitors of baroque pop, Odessey and Oracle. The trio have their self-titled record (with the Casiotone Orchestra) out, and while they have taken their names from an album by The Zombies, it's more of an intriguing mix of Blonde Redhead, Robert Wyatt, Pipers-era Pink Floyd, The Virgin Suicides-era Air and Bjork, with lilting pastoral interludes like a 60s Disney film that is on the verge of taking too many Quaaludes. It's a stunning suite, aimed to be heard in full. Brendan Telford

Les expérimentations du trio ne se résumant pas à une rupture extrême avec le style de leurs aînés, il s'applique plutôt à recombiner des détails et à en varier les arrangements avec subtilité. Le disque vient de sortir chez CARTON Records, un tout petit label avec de grandes idées. Abigaïl Aïnouz


Lesinrockuptibles : Cinq cadeaux de dernière minute pour un Noël musical réussi
De Bach à Wilson il n'y a qu'un trio. Animé par la grâce de Sébastien Bach, inspiré par les sonorités médiévales et maîtrisant des instruments aussi anciens (viole de gambe) que contemporains (synthés), voila un trio à la formation atypique et qui nous le prouve avec l’harmonie platonique de son premier ep.
“cela relève tout simplement du rêve, le temps de 17 titres, on se laisse prendre dans un univers magique et féérique, les harmonies de voix sont sublimes, les arrangements sont d’une richesse incroyable, à chaque écoute ils réussissent à nous surprendre, et à nous faire explorer des mondes parallèles dignes des contes de fées de mon enfance. Chaque note est une émotion de l’âme, parfois mélancolique, à d’autres totalement foutraque, je dois avouer que je suis touchée par la sincérité qui se dégage de cet album et que je vous invite à découvrir au plus vite si ce n’est pas déjà fait !”


“The music is sinuous, atmoshperic, psychedelic, and heavily baroque spaced out pop that i reckon you will be wanting to listen to more than once. it sounds like classic american and british psych filtered through a french lens...so, although i try to avoid comparisons, throw some stereolab in with those zombies and that free
design. despite these comparisons, this album has a very fresh sound. i recommend this one.” J. Moss

“D’une intelligence rare, la pop baroque et flamboyante de ce très talentueux trio invite pèle–mêle à sa table des harmonies vocales héritées des Beach Boys, les curiosités d’un Robert Wyatt surRock Bottom, les imprudences d’un Syd Barrett, l’Eleanor Rigby des Beatles ou encore la musique sacrée de Bach. Sorte de conte sonore proche d’un Alice au pays des merveilles pop, ce disque en constante mutation recèle mille surprises que l’on prend plaisir à découvrir cachées derrière un bosquet ou sous chaque pierre retournée. (…) De cet heureux ouvrage sont ainsi nées neuf merveilleuses chansons entrecoupées “d’interventions” qui sont autant d’interludes romanesques aidant à baliser le chemin des audacieux auditeurs qui envisageront d’effectuer cette balade enchanteresse et dépaysante.” Virginie Guichaoua

The ActiveListener (New-Zeland)
“This restless approach does require a few listens to allow the listener to adjust to its scope, but ensures that surprises continue to present themselves at an alarming and seemingly never-ending rate. 
Not one for those looking for baroque pop in the strictly traditional, retro sense then, but the adventurous listener with an ear for the ornate will find this contemporary update to be both rewarding and surprising.” Nathan Ford
Originaire de Lyon, le trio Odessey & Oracle qui doit son nom au célèbre album des Zombies ne cache pas sa passion pour le son de tous ces groupes des années 60 plus ou moins connus que sont Sunforest, Duncan Browne, The Left Banke ou encore Saggitarius... et qui conjuguaient pop et expérimentation avec un certain talent.
Malgré tout, la musique d’Odessey & Oracle est loin d’être une copie des originaux, le groupe préférant s’inspirer plutôt que de copier à la perfection le son psyché pop de l’époque comme le font tant d’autres aujourd’hui avec des moyens considérables.
Résultat notre trio propose ici un amour de disque soyeux et raffiné, de la pop de chambre délicate aux sonorités à la fois lo-fi, baroques et médiévales qui lui donne cette originalité et ce côté un peu décalé mais tellement appréciable. Benoit Richard


“Un album qui évoque un univers merveilleux, presque magique, avec ces harmonies vocales d’une beauté incroyable, ces mélodies complexes et brillantes et ces textes d’une poésie absolue. Un vrai bonheur !” Benoit Richard


“Que les anciens juniors se rassurent, il ne s'agit pas d'une pâle resucée du deuxième album des Zombies par une bande de revivalistes boutonneux. Au contraire, plus que la lettre, c'est davantage l'esprit des glorieuses sixties qui anime les trois jeunes Lyonnais : liberté, créativité, expérimentation.
En transcendant les genres et les époques, en faisant cohabiter influences classiques et sonorités contemporaines, Odessey & Oracle s'affranchit des codes et de l'air du temps et laisse libre cours à l’imaginaire. Et, comme souvent, quand on fait sauter les barrières, le monde devient ce qu'il ne devrait jamais cesser d'être : un gigantesque et magnifique terrain de jeu, un endroit merveilleux où les licornes existent, où les chats portent du maquillage et où les lettres de l'alphabet se mettent à danser.
Ce premier disque, remarquable d'inventivité et magnifiquement arrangé, est un voyage fantasmagorique et cinématographique dans des contrées luxuriantes. Peu de chances qu'on s'en lasse tant chaque écoute est source d'émerveillement. A écouter en boucle pendant toute l'année, et même plus, avec les yeux et les oreilles écarquillés.” Cédric Quéniart

Découvert par le meilleur d’entre nous, c’est avec régal et une curiosité sans fin qu’il faut se plonger dans l’excellent premier album d’Odessey & Oracle. Le trio lyonnais doit son nom au magistral album des Zombies. Et c’est comme une revendication fièrement affichée à la liberté et à la recherche musicale de toute une époque où l’expérimentation était partout.
Alors évidemment, lorsqu’un groupe va chercher son inspiration dans le Baroque, la Renaissance, voire la musique médiévale, faut s’accrocher. Et avec quelques touches de musique électronique par dessus, ça donne des arrangements plutôt surprenants où se mélangent pêle-mêle viole de gambe, flûtes et son de Bontempi. Déstabilisant à une époque où la musique est si souvent lisse.
Mais l’album, sorti en décembre 2014 sur le micro-label lyonnais Carton Records, recèle de belles inspirations et ne ressemble en rien à ce que avez pu écouter auparavant, même si l’on y retrouve de-ci de-là quelques jolies mélodies pop qui ne nous sont pas étrangères. 2016, le titre d’introduction, rappelle par exemple furieusement un titre du dernier Metronomy (on ne vous dira pas lequel : on vous laisse chercher !).
Il faut donc s’accrocher à l’écoute de Odessey & Oracle and The Casiotone Orchestra, mais promis, le jeu en vaut la chandelle et votre persévérance sera amplement récompensée ! Je vous recommande de commencer par Esprit Du Ciel ou The Unicorn pour un galop d’essai. Magic

 “Fanny L'Héritier, Alice Baudoin et Guillaume Médioni sont des as de la mélodie et du contrepoint, délicieusement enrobés dans des sonorités liquides et électroniques, que d'aucuns pourraient trouver trop colorés pour être licites ; mais les arrangements sont écrits avec une précision qui ne doit rien à la folie ni au hasard” Sefronia

FATEA (UK)
“A bit like one of those late-60s/early-70s Dr Who adventures, where uncontrollably cheesy sci-fi gestures and conventions are layered onto intriguingly sophisticated ideas, the bridge between tentative philosophical mystique and futuristic commentaries - it can be great fun or grossly sinister, and sometimes it's hard to tell the joke. Alice is falling deep into her Wonderland, and all's right with the world when it's refracted through the latter-day looking-glass - or is it?… (…) Odessey & Oracle is a mad, maverick and kaleidoscopically wilful disc, one that's perhaps not all that easy to fully assess on even a half-dozen plays, but it nevertheless reaps considerable rewards for me. Geddit!” David Kidman


Un peu de douceur pour finir l’année et/ou bien commencer la prochaine ? Bon. Si on se fie au seul nom d’Odessey & Oracle – référence immédiate aux Zombies – et à l’artwork du premier album de ce trio lyonnais (publié chez Carton records), on pensera avoir uniquement affaire à un groupe revivaliste friand de pop et d’enfantillages. OK pour la pop, OK pour les sixties et OK pour les monstres gentils : la mixture d’Odessey & Oracle tire tout son intérêt et son puissant attrait d’une utilisation intensive voire abusive d’éléments anachroniques à l’ère des beats digitaux et des productions ultra-compressées. Synthés kitchs et tendres, banjo et violoncelle, flutiots moyenâgeux, matrice gainsbourguienne, harmonies vocales angéliques (et principalement féminines), mélodies célestes, rares petites rythmiques et incursions electro donnent un résultat proche de l’effet que pourrait produire une bonne sieste dans un cocon ouaté et parfumé au caramel au beurre salé. D’habitude j’exècre plus que tout la musique de hippies mais avec Odessey & Oracle on dépasse largement tous les codes et toutes les époques pour se retrouver face à un objet musical lumineux et d’une délicatesse quasi céleste. Hazam

Merseyside : Odessey & Oracle, le disque le plus intriguant de l'année.
“Dans la jungle des top albums 2014, la fin d’année a été marquée par un ovni aussi déroutant que captivant. Chronique de l’album d’un groupe atypique et rudement doué, à la culture musicale évidente et au sens des arrangements sidérant. Tout simplement passionnant ! 
Voilà un disque sacrément atypique qui mérite des dizaines d’écoutes pour s’apprécier à sa juste valeur. Accompagné de musiciens talentueux, le trio Odessey & Oracle And The Cassiotone Orchestra, nom inspiré de l’album de The Zombies sorti en 1968, sème le trouble dans notre univers pop parfois trop formaté.”
Petite claque assez inattendue que ce groupe au nom de disque fameux qui sort un disque qui s'annonce à peine moins fameux. Odessey & Oracle, étrange créature baroque-pop, pour aller vite, est une des plus belles choses qu'on ait entendu cette année. A Lyon ? Non pas seulement. 
L'alliage fait de cette véritable machine à voyager dans le temps pop et des talents ici convoqués est absolument délicieux de délicatesse et d'invention. (…) A la fois inépuisable et épuisant comme l'antique Odyssée, voilà un album qui ne s'écoute pas en faisant le ménage ou en se coupant les ongles, il requiert attention et multiples écoutes, pour affirmer tout à fait sa personnalité : non seulement, aurait dit Gatsby, comme «une suite interrompue de gestes réussis», mais aussi un peu plus que cela. Au fond, une certaine grâce. Stéphane Duchêne
Odessey & Oracle aime les 60s, les Zombies, les Beatles et autres Left Banke mais ne fait pas dans la pale copie, non, le groupe vit dans le présent voire même le futur.
L’album se compose de 17 titres, alternance de titres chantés par les filles ou le garçon et instrumentaux (Invention I à 8) qui sont loin de n’être que du remplissage, mais des petites perles pop expérimentales reliant chaque titre tel un patchwork complexe et simple à la fois.
Odessey & oracle and The Casiotone Orchestra se distingue en effet par une grande cohésion, entre délicatesse et richesse, à l’instar d’un Robert Wyatt par exemple. L’album me fait beaucoup penser à ceux des Flaming Lips ou Arlt plus près de chez nous, peut-être pas musicalement mais dans l’attitude et l’absence de frontières, on essaie tout et on s’amuse comme des enfants.

Le CanalAuditif (Québec)
“On peut catégoriser Odessey & Oracle dans la même lignée que Moodoïd, bien que les premiers se permettent plus d’expérimentation. C’est avec cette oreille qu’il faut approcher le premier album du groupe français. L’expérimentation est de mise sur l’opus et cela donne une galette intéressante, bien qu’inconstante. The Unicorn est une des pièces les plus réussies, utilisant des sonorités moyenâgeuses avec habileté, Odessey & Oracle adapte le tout avec un charme non négligeable. Esprit du ciel, quant à elle, nous envoie une mélodie psychédélique bien tournée et accrocheuse. (…) On suivra avec attention la formation qui n’en est qu’à ses débuts! Louis-Philippe Labrèche

Odessey & Oracle, certes, font donc de la pop. Et nettement, une qui s’inspire d’alors et là-bas. Mais "inspirée", justement – tout court – c’est aussi le mot. Et puis la pop – au meilleurs de ce qu’elle peut être – n’est pas une simple et bête fuite, l’illusion du monde sans tache, la régression dans l’idyllique, qu’il soit décades passées ou bien bas âge, d’avant les questions. Celle-ci – "la bonne" – est comme toujours une singularité ; qui s’exprime et se nourrit de tout ce qui fait un monde pour qui s’y adonne, se pique à son artisanat.(…)
Mais cette introspection n’est au fond pas un frileux repli, une tentative de coupure, de négation, d’isolement. Elle s’exprime en pistes courtes, concises, aux formes découpées nettes et en jeux de perspectives qui les excepte de toute platitude. En même temps qu’elle plonge dans ce qu’on appellera si l’on veut "la psyché", elle nous convie au jeu, à la visite pas forcément – et c’est tant mieux – guidée.(…)
Qui fait que ça ne tombe pas dans le commun, le pour rien, l’exercice. Pas un moment de nostalgie suspendue ; mais à la place : un temps où l’on respire, où si l’on veut des cieux clairs, c’est pour voir, ce laps-ci, sans flou terne. Voici donc un bel album de pop, originale et réussie, aussi sensibles soient ses sources et allusives, élusives ses périodes. Il est vrai que ça se fait peu fréquent – qu’au fond ça l’a toujours été. L’impression me touche, à cette minute, que sa fresque aux feutres en nus et fleurs et créatures humaines ou bêtes ou hybrides curieusement conformées n’est pas de celle qui va sitôt me passer, déteindre et disparaître. Dioneo
Night of the tacky toys : “Il serait injuste de s’arrêter à l’époustouflante introduction de ce morceau. Ici, Odessey and Oracle se font joueurs et espiègles : la marche militaire qu’ils écrivent pour leurs jouets à cent sous est un hymne qui contient plus de mélodies et de variations que l’esprit d’une bidasse ne pourra jamais supporter.”

BSC News (interview)
“Les Lyonnais d'Odessey & Oracle proposent un album tout en couleur, confectionné avec une esthétique singulière et acidulée. De la pop baroque, voilà comment se revendiquent ces trois jeunes gens qui réussissent le pari de faire du bon avec du vintage. À découvrir pour se redonner le sourire et recharger sa plénitude…”

One HeapWonder (Mexico)
“Pop barroco aventajado por la psicodelia más clásica de todas. O algo parecido. Este ensamble de música clásica contemporánea bien pudo haber nacido en los años 60s. O en el siglo XVII, sin problemas. Avant-psychedelic-pop basado en cuerdas, voz, emociones complejas y un toque electrónico. Como pimienta sobre papas a la francesa.” Hugoletras

Wide-eyed, accomplished, orchestrated and in love with an era that deserves the attention, Odessey & Oracle and the Casiotone Orchestrais not only a fun addition to the baroque-pop canon, but a great reminder of what made that scene so special. Edward Charlton


SOLCOFN (USA)
“Take a listen. I think you will dig it as much as I do. A little bit of the old mixed with the new.”

Newswhistle (USA) : interview

“S'inscrivant dans la continuité des explorations psychédéliques des 60's, les Lyonnais développent une pop baroque mêlant modernité et clacissisme” Les inRocK lab
Les textes, en anglais, nous transportent dans un monde féerique et cruel, où les licornes côtoient des chats au rouge à lèvre sanglant, un monde onirique et acide dans lequel une petite fille s’est mis en tête de faire la révolution avec un pistolet trouvé dans un parc.
“Odessey & Oracle reste un groupe d’aujourd’hui mariant instruments d’un autre âge à des arrangements électroniques : l’inaugural 2016, symphonie de poche, associe ainsi banjo, flûtes, vocaux fragiles et conclusion psychédélique et bruitiste. Fixing the world commence comme un titre des Beatles aux cuivres et cordes légers, si ce n’est le chant féminin, et évolue et se transforme dans un final lorgnant du côté du r’n’b et du hip hop. La viole de gambe de The unicorn montre que les influences sont aussi à chercher du côté de l’acid folk de Pentangle, Pearls Before Swine ou The Incredible String Band. I saw my mother plonge lui plus profondément dans le psychédélisme alors que l’album se clôt sur V.I.A.G.R.A, titre electro-pop à la Pizzicato Five.
Au final, cet album, dans la lignée des productions de Fugu ou des High Llamas, ponctué d’interludes allant de la plage contemplative (Invention #6) à l’expérimentation délurée (Invention #8), constitue un premier album impressionnant de maîtrise et d’homogénéité, les nombreux intervenants extérieurs (Anaïs Blondet des Blondettes, Béatrice Morel-Journel chanteuse de Tara King TH, Andrew Dymond aka Duracell...), regroupés sous l’entité The Casiotone Orchestra, se fondant parfaitement dans l’univers onirique et enfantin créé par le trio lyonnais.”
Prendre comme patronyme le nom d'un album aussi culte que celui des Zombies dénote chez un groupe une forme de courage. C'est pourtant bien ce qu'a fait le trio lyonnais qui offre un album singulier, étrange et insaisissable. Après plusieurs écoutes attentives on ne sait toujours pas si on aime ou pas ce disque mais en tout cas il ne nous a pas laissé indifférent, raison pour laquelle on on en parle aujourd'hui. Mêlant instruments habituels et d'autres moins usités (viole de gambe ou clavecin), évoquant aussi bien Zombies, Robert Wyatt que la musique médiévale, le cocktail présenté là déroute, désarçonne. A mi chemin entre bon et mauvais goût (remarquez où se trouve la limite?), le disque avance sur la corde raide en permanence, l'overdose de chantilly n'étant jamais loin.
On vous laisse juger sur pièces.


“A une époque ou l’audace, les expérimentations et les prises de risques sont limitées, Odessey & Oracle se jettent dans le vide. Il semble que le label Carton n’ai pas parié à tort sur ces talentueux musiciens à l’imagination et à la culture musicale sans limites. Chacun devrait trouver son compte dans cet album, amateurs de douceurs médiévales & renaissance comme de folies électro-pop. Cela sera aussi l’occasion pour certains de découvrir ou redécouvrir de merveilleux instruments tels que la viole de gambe, le violoncelle baroque ou les flûtes anciennes. Il va sans dire qu’ Odessey & Oracle and The Casiotone Orchestra est l’un des albums les plus surprenants de cette année.”

Comment définir Odessey and Oracle? Délire 60s carburant au LSD? Beatles passés à la moulinette acoustico-champêtre? Cocoon foutraque? Ce qui est sur c’est que ces Lyonnais nous ravissent de leurs mélodies incongrues et diablement attachantes, mélangeant avec malice électro et folk dans des sonorités débordantes et colorées. Il y’a une folie salvatrice dans cette approche d’un folk sous psychotrope qui nous fait dire que ils iront loin. Arnaud Le Tillau

“Avec un nom emprunté à l'album culte des Zombies, cette Odessey là invite à une aventure musicale à laquelle il est difficile de résister.”

“La multiplicité et l’originalité des instruments ajoute encore un peu à la force de séduction déjà impressionnante des mélodies et plus on avance d’une « Invention » à l’autres, et il y en a huit en tout, plus on se laisse surprendre par « The Unicorn », « The Cat With Lipstick », « I Saw My Mother » et autres « Night Of The Tacky Toys ».”

Sonofmarketing (Italie)

Boozetunes (Greece)



DimensionRock : interview



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